Les chiens sont des animaux aux habitudes fixes qui peuvent aider les humains à avoir une routine de course saine. Avant d’aller courir avec eux ou de s’inscrire à une activité de course canicross, il y a une série de directives et de points importants à prendre en compte et à évaluer.
Courir avec une laisse spéciale plus pratique
Meilleures ventes laisses pour courir avec son chien
La même laisse que vous utilisez pour promener votre animal ne fonctionnera pas pour faire du jogging avec lui. Vous devez acquérir une laisse technique et souple qui s’attache à votre taille. De cette façon, vous pourrez courir les mains libres et de façon plus naturelle. Et votre chien ne fera pas de va-et-vient avec vos tiraillements. Ainsi, le harnais ergonomique est indispensable pour ne pas limiter les mouvements de votre chien. De plus il sera beaucoup moins nocif qu’un collier. La plupart des laisses de ce type ont une longueur maximale de 2m. Et à votre taille vous aurez une large ceinture rembourrée qui empêchera également les frottements.
Consultez le spécialiste
Dans ce cas, le vétérinaire. Avant de commencer à courir avec votre animal de compagnie, vous devez consulter un vétérinaire, qui l’examinera et évaluera son état de santé pour s’assurer que courir avec lui ne peut pas être contre-productif pour sa santé. Certaines cliniques vétérinaires et certains spécialistes conseillent d’effectuer ce contrôle tous les ans. En d’autres termes, c’est comme le contrôle annuel que tous les sportifs devraient faire.
Tous les chiens ne sont pas idéaux pour courir
Toutes les races de chiens n’ont pas les mêmes caractéristiques physiques et, par conséquent, toutes ne sont pas idéales pour la course et le sport. À cet égard, les chiens ayant un long museau et une taille considérable sont idéaux pour la course cani. En revanche, les chiens de petite taille, plats et aux jambes courtes, vous empêcheront de courir à un certain rythme, soit parce qu’ils n’ont pas une longueur de foulée idéale, soit parce qu’ils peuvent avoir des problèmes respiratoires. À cet égard, un bouledogue ou un carlin peut ne pas être le meilleur compagnon de voyage, contrairement à un carlin ou un pointer.
Pas à pas
Ces conditions sont à remplir : votre animal doit avoir au moins un an, vous devez aussi avoir un peu plus d’endurance. De la même manière que vous n’envisageriez pas de courir 25 km d’un coup si vous n’avez jamais fait plus de 5 km, vous devez également augmenter progressivement le temps de course de votre animal.
La phase d’adaptation est donc essentielle pour renforcer leur endurance afin de pouvoir effectuer, au fil des semaines, des sorties assez longues. Grâce à cet entraînement progressif, vous pouvez progressivement intégrer la routine de la course à pied dans le quotidien de votre chien. En outre, une bonne progression dans vos séances aidera également les coussinets de votre animal à durcir correctement. Ce qui évitera d’autres dommages et blessures. Après une sortie en montagne ou sur un terrain technique et sale, il est conseillé de laver les coussinets avec du savon et un chiffon. En nettoyant la saleté, vous éviterez que cette zone sensible du chien soit irritée et devienne une source d’infection.